poème "les droits de l'enfant"
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poème "les droits de l'enfant"
TROP OU PAS ASSEZ
Trop d'horreur et pas assez d'amour.
Trop de malheur et pas assez de bonheur.
Trop de misère et pas assez de combat .
Trop, trop ou pas assez.
Je ne sais quoi penser,
De la pauvreté qui déchire l'humanité
Trop, trop ou pas assez.
En tout cas, assez d'horreur
Pour une seule planète.
Mais quoi que je décrète, rien n'arrête
Cette sphère infernale,
Qui ne fait que du mal.
Cloé VANISCOTTE, 5e3, 1997
DANS UNE MINE EST LEUR VIE
Là-bas, dur ils travaillent, à partir de quatre ans.
Jamais ils ne s'amusent et jamais ils ne mangent,
Dans une mine est leur vie, leurs nuits dans une grange.
Dans certains grands pays n'existent plus d'enfants.
Jamais ils ne s'amusent et jamais ils ne mangent,
Des bambins amusants qu'ils traitent méchamment.
Dans certains grands pays n'existent plus d'enfants,
Leur tâche est de creuser, il ne faut qu'ils dérangent.
Des bambins amusants qu'ils traitent méchamment,
Durement ils les battent, malgré leurs âmes d'anges.
Leur tâche est de creuser, il ne faut pas qu'ils dérangent,
Et c'est leur destinée, il n'en va autrement.
Durement ils les battent, malgré leurs âmes d'anges.
Tués par le martinet, ils tiennent rarement,
Et c'est leur destinée, il n'en va autrement.
Faites le maximum, afin que cela change.
Trop d'horreur et pas assez d'amour.
Trop de malheur et pas assez de bonheur.
Trop de misère et pas assez de combat .
Trop, trop ou pas assez.
Je ne sais quoi penser,
De la pauvreté qui déchire l'humanité
Trop, trop ou pas assez.
En tout cas, assez d'horreur
Pour une seule planète.
Mais quoi que je décrète, rien n'arrête
Cette sphère infernale,
Qui ne fait que du mal.
Cloé VANISCOTTE, 5e3, 1997
DANS UNE MINE EST LEUR VIE
Là-bas, dur ils travaillent, à partir de quatre ans.
Jamais ils ne s'amusent et jamais ils ne mangent,
Dans une mine est leur vie, leurs nuits dans une grange.
Dans certains grands pays n'existent plus d'enfants.
Jamais ils ne s'amusent et jamais ils ne mangent,
Des bambins amusants qu'ils traitent méchamment.
Dans certains grands pays n'existent plus d'enfants,
Leur tâche est de creuser, il ne faut qu'ils dérangent.
Des bambins amusants qu'ils traitent méchamment,
Durement ils les battent, malgré leurs âmes d'anges.
Leur tâche est de creuser, il ne faut pas qu'ils dérangent,
Et c'est leur destinée, il n'en va autrement.
Durement ils les battent, malgré leurs âmes d'anges.
Tués par le martinet, ils tiennent rarement,
Et c'est leur destinée, il n'en va autrement.
Faites le maximum, afin que cela change.
adouma- Modérateur
- Messages : 409
Date d'inscription : 19/04/2013
Re: poème "les droits de l'enfant"
RESPECTEZ LES ENFANTS
Aidez les enfants sages,
Arrêtez l'esclavage,
Ils n'ont pas encore l'âge,
De piocher sous l'orage.
Les enfants de là-bas,
N'y arriveront pas ;
Aidez-les s'il vous plait,
Seule, je ne pourrai.
Il faut les adorer,
Les nourrir, les aimer,
Il faut les consoler
Et puis les caliner.
Mélodie Charrier
Aidez les enfants sages,
Arrêtez l'esclavage,
Ils n'ont pas encore l'âge,
De piocher sous l'orage.
Les enfants de là-bas,
N'y arriveront pas ;
Aidez-les s'il vous plait,
Seule, je ne pourrai.
Il faut les adorer,
Les nourrir, les aimer,
Il faut les consoler
Et puis les caliner.
Mélodie Charrier
Invité- Invité
Re: poème "les droits de l'enfant"
Enfance Marquée
Dans des pays en difficultés,
Les enfants sont maltraités
Et leurs droits oubliés.
Dans les mines enténébrées,
Ces bambins sont condannés
A pousser des wagons rouillés.
Dans des champs désertés,
Ensoleillés ou inondés,
De leurs petites mains étoilées,
Ils fauchent le blé,
En attendant de tomber,
Epuisés, depuis des années.
Ils n'atteignent pas la puberté,
Ils sont morts avant d'être nés.
Ces pauvres enfants, il faut les aider,
Venir à bout de cette lâcheté
Que le monde a accumulée,
Leur offrir de beaux jouets
Pour égayer leur destinée
Mais aussi, toute l'humanité.
José Massé
Dans des pays en difficultés,
Les enfants sont maltraités
Et leurs droits oubliés.
Dans les mines enténébrées,
Ces bambins sont condannés
A pousser des wagons rouillés.
Dans des champs désertés,
Ensoleillés ou inondés,
De leurs petites mains étoilées,
Ils fauchent le blé,
En attendant de tomber,
Epuisés, depuis des années.
Ils n'atteignent pas la puberté,
Ils sont morts avant d'être nés.
Ces pauvres enfants, il faut les aider,
Venir à bout de cette lâcheté
Que le monde a accumulée,
Leur offrir de beaux jouets
Pour égayer leur destinée
Mais aussi, toute l'humanité.
José Massé
Invité- Invité
Re: poème "les droits de l'enfant"
Poème les Lilas
Quand je vais chez la fleuriste
Je n'achète que des lilas
Si ma chanson chante triste
C'est que l'amour n'est plus là
Comme j'étais, en quelque sorte
Amoureux de ces fleurs-là
Je suis entré par la porte
Par la porte des Lilas
Des lilas, y'en avait guère
Des lilas, y'en avait pas
c'étaient tous morts à la guerre
Passés de vie à trépas
Je suis tombé sur une belle
Qui fleurissait un peu là
J'ai voulu greffer sur elle
Mon amour pour les lilas
J'ai marqué d'une croix blanche
Le jour où l'on s'envola
Accrochés à une branche
Une branche de lilas
Pauvre amour, tiens bon la barre
Le temps va passer par là
Et le temps est un barbare
Dans le genre d'Attila
Aux coeurs où son cheval passe
L'amour ne repousse pas
Aux quatre coins de l'espace
Il fait le désert sous ses pas
Alors, nos amours sont mortes
Envolées dans l'au-delà
Laissant la clé sous la porte
Sous la porte des Lilas
La fauvette des dimanches
Celle qui me donnait le -la
S'est perchée sur d'autres branches
D'autres branches de lilas
Quand je vais chez la fleuriste
Je n'achète que des lilas
Si ma chanson chante triste
C'est que l'amour n'est plus là
Georges Brassens
Quand je vais chez la fleuriste
Je n'achète que des lilas
Si ma chanson chante triste
C'est que l'amour n'est plus là
Comme j'étais, en quelque sorte
Amoureux de ces fleurs-là
Je suis entré par la porte
Par la porte des Lilas
Des lilas, y'en avait guère
Des lilas, y'en avait pas
c'étaient tous morts à la guerre
Passés de vie à trépas
Je suis tombé sur une belle
Qui fleurissait un peu là
J'ai voulu greffer sur elle
Mon amour pour les lilas
J'ai marqué d'une croix blanche
Le jour où l'on s'envola
Accrochés à une branche
Une branche de lilas
Pauvre amour, tiens bon la barre
Le temps va passer par là
Et le temps est un barbare
Dans le genre d'Attila
Aux coeurs où son cheval passe
L'amour ne repousse pas
Aux quatre coins de l'espace
Il fait le désert sous ses pas
Alors, nos amours sont mortes
Envolées dans l'au-delà
Laissant la clé sous la porte
Sous la porte des Lilas
La fauvette des dimanches
Celle qui me donnait le -la
S'est perchée sur d'autres branches
D'autres branches de lilas
Quand je vais chez la fleuriste
Je n'achète que des lilas
Si ma chanson chante triste
C'est que l'amour n'est plus là
Georges Brassens
GFZN Mme Médjani- Formateur
- Wilaya d'exercice : batna
Messages : 243
Date d'inscription : 23/05/2012
Localisation : MEROUANA
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