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La vitamine D a un lien avec la dépression:

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La vitamine D a un lien avec la dépression: Empty La vitamine D a un lien avec la dépression:

Message par Invité Ven 16 Mai - 18:18

La vitamine D a un lien avec la dépression. Une personne ayant un faible taux de vitamine D dans le sang a 41% plus de chance d'être déprimée.

Suite à une étude réalisée à Tromsø sur 12.984 hommes et femmes âgés de 30 à 87 ans concernant la joie et la dépression, Marie Kjaergaard, étudiante en doctorat à l'UiT (Université de Trømso), a réalisé que le taux de vitamine D dans le sang des personnes ayant répondu qu'ils se sentaient déprimés était globalement plus faible. « La vitamine D a un lien avec la dépression. Une personne ayant un faible taux de vitamine D dans le sang a 41% plus de chance d'être déprimée. », dit Marie Kjaergaard. « Nous réalisons une étude sur 347 personnes, dont la moitié a reçu de la vitamine D, et l'autre moitié un placebo. Ces personnes sont suivies pendant 6 mois au travers de questionnaires et d'entretiens avec un psychologue. », ajoute-t-elle.

;;;;;• Les 40-50 ans et les jeunes adolescentes

Les résultats de recherche de Joar Vittersø, chercheur en psychologie à l'UiT sur la thématique du bonheur, montrent que deux catégories sont majoritairement touchées par la dépression : les 40-50 ans et les jeunes adolescentes. Une enquête globale sur la jeunesse a enregistré le taux de vitamine D de plus de 1000 adolescents âgés de 15 et 16 ans. Les résultats de cette étude sont toujours en cours d'analyse

;;;;;• Vitamine D : pas un traitement contre la dépression

Outre par l'alimentation, le corps humain synthétise surtout la vitamine D quand il est exposé au soleil. En été, lorsque le soleil est haut, la peau créé beaucoup de vitamine D. En hiver, l'ensoleillement dans les pays nordiques est trop faible pour que le corps développe des quantités suffisantes. Marie Kjaergaard précise que la vitamine D n'est pas un traitement contre la dépression, mais puisque les dépressifs sont susceptibles d'avoir de faibles taux dans le sang, il peut être sage de prendre des compléments, sous forme d'huile de foie de morue par exemple, pour la prévention d'autres maladies, en particulier durant les saisons peu ou pas ensoleillées.

Un ancien chercheur de l'UiT, Kåre Edvardsen, a suivi 42000 femmes âgées de 40 à 70 ans pendant plus de 8 ans. « En raison du manque de soleil, on pourrait croire que plus on va vers le Nord, plus le taux de vitamine D dans le sang des populations est faible. C'est en fait l'inverse ! Les résultats de mes recherches montrent un teneur en vitamine D plus importante chez les femmes du Nord. », dit-il. Il attribue ces résultats au régime alimentaire, et précise qu'une autre raison pourrait être la faculté des populations scandinaves à profiter du moindre rayon de soleil alors que celles des régions ensoleillées recherchent plutôt l'ombre.
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La vitamine D a un lien avec la dépression: Empty Re: La vitamine D a un lien avec la dépression:

Message par kamel 25 Sam 17 Mai - 7:40

Merci Mr Sellami d'avoir choisi ce sujet car il est intéressant de savoir nos maux en sachant que nous sommes bel et bien confrontés à ce genre de problème: la dépression issue de la fatigue ou de l'alimentation élément essentiel pour le corps humain;je viens de surveiller le "bac blanc" et pendant la dernière heure ,j'ai senti au niveau de mon corps une "faiblesse" due sans doute à une "chute de tension" sous l'effet de ma position "debout" pendant trois heures",cela m'a obligé de voir le médecin qui m'a prescrit des fortifiants aussi ,il est impératif de sensibiliser les enseignants à "étudier" le lexique lié à la médecine pour connaître sa maladie..............

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La vitamine D a un lien avec la dépression: Empty Re: La vitamine D a un lien avec la dépression:

Message par Invité Sam 17 Mai - 10:40

Quels sont les symptômes de la dépression ?

La dépression entraîne un « ralentissement » dans tous les registres de la vie quotidienne : vie affective, fonctionnement intellectuel, forme physique, mécanismes vitaux et corporels.

Ce « ralentissement » se décline en multiples symptômes qui persistent pendant une longue durée (au-delà de quinze jours). La liste ci-dessous peut vous aider à repérer certains de ces symptômes, sachant qu’une même personne peut ne pas les ressentir tous.

Même si les symptômes sont bien présents, la personne qui souffre de dépression a souvent du mal à les repérer. Le principal obstacle à leur repérage réside dans la difficulté à juger par soi-même de son état psychologique. Une autre raison réside dans le fait de considérer ses symptômes comme normaux, en les attribuant à une difficulté momentanée de la vie. L’évaluation par un professionnel de santé est donc indispensable.

Si vous vous posez des questions, si vous pensez avoir repéré plusieurs de ces symptômes, chez vous ou chez un de vos proches, cette série de questions peut vous aider à faire plus précisément le point.


Forme physique : se sentir à bout


Fatigue : même sans avoir fait d’efforts particuliers, la personne éprouve en permanence une sensation de manque d’énergie. Cette sensation omniprésente vient s’ajouter au découragement et à la douleur physique et morale. Une des caractéristiques de cette fatigue dépressive est que ni le repos, ni le sommeil ne l’atténuent.

Ralentissement général : la dépression ralentit tous les gestes ; il faut donc plus de temps pour accomplir les tâches habituelles. On n’a pas la force. Les émotions, les pensées et les actions sont comme « engluées » par la maladie. Les mouvements du visage sont diminués, il en ressort une impression d’inexpressivité qui peut laisser croire à de l’indifférence. La parole est lente, traînante. La personne a le sentiment de ne plus être capable de réagir. Certaines fonctions du corps, comme la digestion, sont également ralenties.


Vie affective : être à plat

Tristesse intense : dans la dépression, la tristesse est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante, souvent accompagnée de pleurs sans motif et d’un sentiment de désespoir.

Incapacité à éprouver du plaisir : chez les personnes souffrant de dépression, les petits plaisirs de la vie (écouter de la musique, voir ses amis, lire son journal…) disparaissent. Tout paraît égal, terne, sans intérêt. La vie a perdu tout sens, tout goût, toute couleur.

Hypersensibilité émotionnelle : les personnes souffrant de dépression réagissent avec une grande sensibilité aux situations de la vie quotidienne (comme s’il manquait un « espace d’amortissement » entre elles et leur environnement). En même temps, elles peuvent avoir l’impression d’être vides, de ne plus éprouver d’émotions. C’est comme si elles étaient à la fois « anesthésiées » et hypersensibles.

Impressions d’abandon, d’inutilité, de solitude :
ces impressions cohabitent avec le sentiment de ne pas être aimé des autres, de n’avoir rien à dire qui puisse les intéresser.

Anxiété : les troubles anxieux et la dépression renvoient à deux maladies différentes (voir encadré ci-dessous) Néanmoins, l’anxiété est un symptôme fréquent en cas de dépression. Cette peur sans cause évidente s’exprime aussi bien dans le corps (« boule » dans la gorge, gêne pour respirer, douleurs diverses, notamment dans le ventre) que dans la tête (peur « flottante », ruminations, sentiment de catastrophe imminente).


Fonctionnement intellectuel : voir tout en noir

Ralentissement intellectuel : en cas de dépression, il devient difficile de réfléchir, de trouver les mots, de parler avec fluidité. On a l’impression d’avoir la tête vide, que le monde est devenu trop compliqué, qu’on ne saura pas s’y adapter, y faire face. Il faut faire un effort très important pour accomplir des tâches qui, jusqu’alors, s’effectuaient naturellement, sans y penser.

Diminution de l’attention, de la concentration et de la mémoire :
fixer son attention, ne pas se laisser distraire, retenir ce qu’on vient de lire… ces tâches deviennent très difficiles à accomplir lorsque l’on souffre de dépression.

Dévalorisation de soi et culpabilité : la personne qui souffre de dépression ne se sent bonne à rien ; elle se pense sans valeur ; elle s’accuse d’être responsable des événements pénibles qu’elle vit et des émotions désagréables qu’elle ressent. Cette impression lui paraît tellement définitive qu’il lui est difficile de demander de l’aide et de croire qu’un traitement peut changer quelque chose.

Pensées négatives : la personne analyse les événements de sa vie et les opinions des autres sous un angle systématiquement négatif. Ce pessimisme permanent retentit sur les proches et peut les décourager.

Pensées autour de la mort (la sienne, celle de ses proches ou la mort en général) : liées au sentiment d’inutilité et à la perte de plaisir déjà décrits, ces idées noires sont en fait « fabriquées » par la dépression et disparaissent à la guérison de la maladie. Les idées de suicide méritent dans tous les cas d’être signalées à un professionnel de santé.

Mécanismes du corps : tout se dérègle

Dégradation du sommeil :
le sommeil est souvent mauvais, moins profond, très court et peu réparateur. Le petit matin (de 3 à 5 heures du matin) est souvent marqué par un réveil précoce, avec impossibilité de se rendormir et une grande souffrance morale. Dans d’autres cas, le sommeil est en excès ; on parle de « sommeil refuge », comme si celui-ci correspondait à un besoin de « fuir ». Mais ce trop plein de sommeil est insatisfaisant et plutôt abrutissant.

Altération de l’appétit : l’appétit est le plus souvent diminué (les aliments semblent sans goût, l’assiette paraît trop remplie). La préparation des repas devient une corvée, leurs horaires se font irréguliers, leur composition déséquilibrée. La perte de poids est souvent un signe important pour établir le diagnostic de dépression. À l’inverse, on observe parfois une augmentation de la prise d’aliments (surtout sucrés) pouvant conduire à une prise de poids.

Problèmes sexuels : la sexualité est une fonction à la fois très biologique et très relationnelle. Ces deux dimensions étant très perturbées dans la dépression, il est logique que la vie sexuelle soit affectée. Le désir sexuel de la personne peut disparaître, son plaisir s’estomper. La réalisation de l’acte sexuel devient alors difficile. En conséquence, le conjoint a parfois l’impression d’être délaissé, ce qui accentue la tension dans la vie de couple.

Symptômes physiques : la dépression peut s’accompagner de douleurs (maux de tête, souffrances dans les articulations, problèmes digestifs…) et de dérèglements de certains indicateurs ou fonctions du corps (tension artérielle, perturbation ou interruption des règles…).

Les conséquences de ces symptômes dépressifs sur le fonctionnement quotidien de la personne sont considérables. Toutes les relations sont affectées : au sein du couple et de la famille, avec les amis, dans le milieu professionnel.

Pourtant, même si les symptômes sont bien présents, la personne qui souffre de dépression a souvent du mal à les repérer. Le principal obstacle à leur repérage réside dans la difficulté à juger par soi-même de son état psychologique. Une autre raison tient au fait de considérer ses symptômes comme normaux, en les attribuant à une difficulté momentanée de la vie. L’évaluation par un professionnel de santé est donc indispensable.

Si vous vous posez des questions, si vous pensez avoir repéré plusieurs de ces symptômes, chez vous ou chez un de vos proches, la liste de questions peut vous aider à faire plus précisément le point avant d’aller consulter un médecin.

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La vitamine D a un lien avec la dépression: Empty Re: La vitamine D a un lien avec la dépression:

Message par kamel 25 Dim 18 Mai - 6:46

Merci Sellami d'avoir mis au point des solutions qui permettent de repérer cette"dépression" aussi ,je me vois en quelques points cités ci-dessus à l'exemple de la dégradation du sommeil: dès la prière de l'aube ,je n'arrive pas à m'endormir et comme vous d'ailleurs ,votre contrôle est sans égal,MERCI encore une fois.........

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La vitamine D a un lien avec la dépression: Empty Re: La vitamine D a un lien avec la dépression:

Message par Invité Dim 18 Mai - 11:57

De faibles niveaux de vitamine D sont liés à la dépression, selon une étude, la plus grande à date, publiée dans la revue Mayo Clinic Proceedings.
Edson Sherwood Brown et ses collègues du UT Southwestern Medical Center ont mené cette étude avec 12,600 personnes. Des niveaux élevés de vitamine D étaient associés à une diminution du risque d'être en dépression au moment de l'étude, particulièrement chez les personnes ayant des antécédents de dépression alors que de faibles niveaux étaient liés à des symptômes dépressifs.
Les mécanismes expliquant ce lien demeurent inconnus. La vitamine D pourrait affecter les neurotransmetteurs, des marqueurs inflammatoires et d'autres facteurs.
Les taux de vitamine D sont maintenant couramment testés lors des examens de routine, mentionnent les chercheurs, et "ils sont déjà reconnus comme des facteurs de risque pour un certain nombre d'autres problèmes médicaux: maladies auto-immunes; maladies cardiaques et vasculaires, maladies infectieuses; ostéoporose, obésité, diabète, certains cancers et des troubles neurologiques tels que les maladies d'Alzheimer et de Parkinson, la sclérose en plaques, et le déclin cognitif général".
D'autres [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ont également montré un lien entre vitamine D et dépression.

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